Pascal Germain-Berardi, directeur artistique
Élevé dans la précarité des quartiers Ville-Émard et Saint-Henri à Montréal, Pascal Germain-Berardi est un chef, compositeur et gueuleur de métal guidé par un puissant instinct de survie et une inéluctable passion pour la musique.
Outre son rôle au sein de Temps Fort, Pascal est chef de l’Ensemble Forestare (orchestre de guitares) et assistant-chef avec le chœur Voces Boreales (dir. Andrew Gray) où il organise des classes de maîtres avec plusieurs grands noms du milieu choral (Simon Carrington, Gabriel Crouch, Andrew Megill). Il termine présentement un doctorat en direction d’orchestre à l’Université de Montréal et est également consultant, coach vocal et coach de direction avec le Growlers Choir, le tout premier chœur de chanteurs métal au monde.
Amoureux de musique intense, son coeur vibre aussi fort à l’écoute des grands maîtres classiques tels Beethoven, Bruckner et Liszt qu’auprès des groupes de métal extrême comme Strapping Young Lad, Vektor et Decapitated. Son groupe Archetype s’est d’ailleurs démarqué par ses compositions audacieuses et ses performances énergiques.
Pascal a eu le privilège d’étudier la direction avec Bramwell Tovey (Vancouver Symphony), Yannick Nézet-Séguin (Orchestre métropolitain), Jon Washburn (Vancouver Chamber Choir), Joseph Flummerfelt (New York Philharmonic), Ovidiu Balan (Orchestre Symphonique de Bacau), Andrew Megill (Chœur de l’OSM, Université de l’Illinois), Jean-François Rivest et Paolo Bellomia (Université de Montréal). Comme chef il a aussi eu la chance de travailler avec l’Orchestre Symphonique de Québec, l’Orchestre Symphonique de Drummondville, le Prague Philarmonia PKF, l’Orchestre Symphonique de Bacau, le Dresdner Philarmoniker, les Petits Chanteurs du Mont-Royal et le chœur de la Basilique Notre-Dame à Montréal.
Ce que les gens disent« Pascal G.-Berardi possède le souffle et la personnalité de quelqu’un qui n’a pas de temps à perdre et qui se donne tout entier à ce qu’il fait. »
— CAMUZ
« Mission (1er album d’Archetype) est un appel à la tabula rasa, un chaos musical entièrement endossé par des musiciens qui maîtrisent évidemment leurs instruments, et l’horizon pourrait bien s’annoncer très prometteur pour eux. »
— Le VOIR